Archive | Mai 2006

Journée libre avant la Grande Barrière de Corail

6.09.05
Un journée de liberté pour visiter un peu Cairns. J’avais bien prévu de tchatcher une petite heure avec mes filles ce matin, et bien non ! mon espoir est contrarié car le local internet est fermé pour cause de maintenance, je suis absolument furieuse.
Je prends donc mon sac à dos, le transport pour le centre-ville ne démarrant qu’à 7.30 H je poireaute une dizaine de minutes. Quand j’arrive en ville, évidemment, rien n’est ouvert à une heure aussi matinale excepté les bars, pubs et autres endroits pour breakfast.
Je m’installe donc à une terrasse pour y manger 2 oeufs au plat et j’observe Cairns s’éveiller lentement. Je suis installée juste en face d’un musée, j’irai y jeter un petit coup d’oeil voir de quoi il retourne.
Finalement, le musée ne me paraît pas très attrayant, je privilégie une balade à travers les rues de Cairns et j’en profite pour m’acheter de quoi me restaurer ce midi : spaghetti bolognaise (façon Australienne), un steak, des pancakes et des pêches, sans oublier mon jus de citron pour le thé (sans lequel je ne peux le boire avec plaisir).
Je mettrai mes provisions dans un sac marqué à mon nom dans le réfrigérateur de la cuisine commune à l’auberge !
Quel pied pour ça l’Australie, tu peux vivre dans des lieux communs sans avoir à cadenasser ton placard à nourriture, car bien qu’il faille toujours être prudent (il n’y a pas que des Australiens) tu n’es pas obligée d’être accrochée à ton sac à mains dans les rues des villes, un rêve….
Pour le soir je me suis contentée de la portion gratuite + ma ration de fromage à tartiner, un pancake et mon dessert, les provisions restantes suffiront à mon petit déjeuner et le dîner en rentrant de la croisière demain soir.
Après mon repas de midi, je me suis consacrée au travail de mon vocabulaire en Anglais. En effet j’ai acheté un livre écrit sur les premiers héros d’Australie dont le titre est "Outback Heroes", je ne suis pas prête d’en voir le bout car j’ai le livre et le dictionnaire d’une main, papier et crayon de l’autre pour noter tous les mots que je ne connais pas et en faire une liste, en faire la traduction et reprendre ma lecture pour en percevoir exactement le sens….. c’est un travail titanesque pour moi, mais on a rien sans rien !
Je me suis installée sur la terrasse avec vue sur la piscine et jardin autour, mais je ne me risque pas à aller me baigner car mon pied n’est pas cicatrisé et je n’ai pas en vie d’attraper des champignons ou une m… quelconque, la piscine, ce n’est pas la mer. Qu’à cela ne tienne, la position est agréable, je suis entourée par les palmiers et autres plantes du même cru, je suis vraiment sous les tropiques ; un superbe oiseau est venu ramasser des miettes, mais comme d’habitude, il ne m’a pas laissé le temps de prendre l’appareil photos dans les mains, il s’est envolé à tire d’ailes.
Nous ne devons pas être loin de l’aéroport, je me croirais à Saint-Victoret, il y a les avions qui passent au-dessus de notre tête, c’est infernal, heureusement que la cadence est moindre.

En route vers le Withsundays……

Je reprends après un autre intermède "voyage" l’écriture de mon petit carnet de route Australien.
1° Septembre 2005
Après avoir laissé ma valise en consigne, je pars, sac à dos, camescope et appareil photos en bandoulière, non sans avoir fait mon petit tour sur internet où je rencontre enfin ma fille Valérie ! Le décalage horaire entre nos deux pays sont tout de même de 8 H pas évident de se rencontrer. J’ai fait le point avec elle de mes ennuis Français de fuite d’eau chez moi et ma pauvre petite Marieke va se trouver avec pour seule production d’eau, le robinet du jardin qui est indépendant de la maison, elle devra vivre en spartiate le temps que son grand-père veuille bien lui porter secours, j’avoue que ça me porte soucis, l’esprit n’est pas aussi libre qu’il devrait l’être.
Je prends la route face à mon auberge, et je me trouve, selon le plan fourni par l’agence Prosail qui s’occupe de la croisière, dans la bonne direction.
Je suis toute même hésitante connaissant ma grande absence du sens de l’orientation, mais après environ un km, j’arrive au quai où se trouve l’arrêt de bus indiqué, ouf ! En fait, ce n’est qu’un lieu de rendez-vous pour concentrer les participants. Le skipper arrive, nous sommes 7 pour partager les nouvelles émotions, et vogue, non pas la galère, mais le voilier, nous voilà partis, toutes voiles au vent sur cette immensité bleue qu’est la mer de corail. Est-ce que ces trois jours ne vont pas me peser, car si la mer est immense, on a vite fait le tour du bateau et c’est une première pour moi.
Nous terminons la première journée ; l’ancre est posée dans une crique où mes petits camarades sont allés se baigner, moi j’avais trop froid. Il fait vent, il a plu, c’est vraiment bon pour les gens du Nord et de l’Est de se baigner dans ces conditions,, mais pas pour une provençale (même d’adoption depuis 30 ans). Il ne faut pas perdre de vue que nous sommes encore en hiver, même s’il fait 20-21°.
Ce soir au repas nous avons grillades et légumes. Tout le monde est sur le pont, moi je suis retournée en cabine (collective) afin de griffonner les pages de carnet avant de faire la "pause paupières". Le bateau se balance doucement, je vais finir par m’endormir assise le nez sur mon carnet…. je prends donc la sage décision de me glisser dans mon sac de couchage, l’air du large, ça vous chavire.
2 Septembre 05
J’ai passé la nuit seule en cabine, tout le monde a dormi sur le pont. Après le petit-déjeuner nous repartons autour des îles, nous faisons escale sur l’une d’elles que nous traversons en grimpant et nous nous trouvons en haut de collines, desquelles nous surplombons des plages magnifiques de sable blanc et la mer de couleur emeraude, aussi lisse qu’un tapis en soie, c’est à couper le souffle.
En descendant du bateau je me suis écorché le pied gauche sur un boulon ou quelque chose de ce genre, je n’en rate pas une. Nous allons vers les plages, et cette fois j’ai pris la précaution de prendre le maillot et n’ai pas eu la frustration de seulement regarder les autres, je me suis baignée. J’avoue qu’au début ça a été un peu dur pour entrer j’ai jouer les prolongations pour mettre mon corps à température, mais une fois dedans, je ne voulais plus en sortir.
Avant le départ mes co-voyageurs ont fait de la plongée, mais je ne m’en sentais pas le courage, il y avait encore beaucoup de vent et il ne fait pas très chaud malgré les combinaisons. Dans l’après-midi, nous avons continuer à voguer et nous sommes allés à une autre crique pour y passer la nuit.
En fait, nous ne faisons rien, à part mettre les voiles et scruter l’horizon, mais mine de rien, ça prend du temps et on ne le voit pas passer, c’est du temps à savourer délicieusement. Je vais avoir la chance d’apercevoir deux baleines, mais pas assez près pour les filmer ou les photographier, je suis déçue. Pour les dauphins, c’est la même chose.
En fait, ces journées sur la mer sont absolument reposantes, on ne fait que manger, nager, se promener sur les îles et regarder la mer, je me surprends, moi si bougeante, de me laisser apprivoiser par ce calme.
Je fais quand même une tentative de plonger avec mon équipement (seulement la combinaison, le masque et le tuba). Je saute du bateau, non sans appréhension, toute cette quantité d’eau autour de moi, ça m’impressionne, mais malgré tout, elle m’attire, je me lance donc, tête sous l’eau et tente de me diriger vers les autres. Mon masque fait de la buée, je ne vois pas grand chose et au bout d’un moment je me rends compte que j’ai nagé complètement à l’opposé des autres. Je reviens donc sur mes brasses, mais je fatigue, car la natation du matin m’avait déjà vidée. Je suis donc revenue vers le bateau et j’ai quitté la tenue de plongeuse. Je me suis privée du regard sur les coraux mais j’étais complètement épuisée.
Nous avons tous réintégré le bateau les uns après les autres et nous sommes partis vers une autre île. Nous avons traversé quelques houles, mais ce n’était pas très méchant. Cependant, la température avait bien baissé et nous avons bâché pour le repas. La nuit qui a suivi a fait descendre les plus frileux (dont je fais partie) dans les couchettes.
Nous sommes une petite équipe assez cosmopolite, il y a un jeune couple de belges (wallon) un couple d’allemands (2 frères) une jeune fille d’origine nord africaine ayant vécu une dizaine d’années en France puis en Suisse où elle résidait avant de venir travailler en Australie dans un laboratoire de recherche, un Anglais, moi la petite Frenchie et nos deux hommes d’équipage Australiens. Il y a une excellente entente à bord du bateau, et, bien que mon vocabulaire soit relativement limité, j’arrive à communiquer allégrement avec tout un chacun sans trop de problème. Il faut dire aussi que si je veux progresser, il me faut bien m’exprimer !
3 septembre 05
Nous nous levons avec une mer d’huile, le temps paraît beau. Le temps de prendre un petit déjeuner et nous reprenons la mer. Nous allons faire notre escale sur une lagune de sable qui rejoint une petite île, mais nous ne pouvons pas l’aborder avec le voilier, nous y allons en canot.
Quand nous somme sur la lagune, nous partons à gué vers l’île, mais mon pied blessé me fait mal, le sable irrite la petite plaie ça ne va pas être facile de amrcher jusqu’à l’ile, mais tant bien que mal, j’y arriverai. En chemin nous avons vu une colonie de tortues de mer mais je n’ai pas réussi à les prendre en photo, l’exposition par rapport au soleil ne convenait pas du tout. Une fois arrivés sur l’île et après en avoir fait le tour, tout le monde était lessivé et le skipper a du nous récupérer à l’île et non pas sur la lagune.
Bien qu’il n’y ait rien de spécial à raconter sur ces journées passées sur la mer, ce fut absolument génial. Notre petite équipe était très sympatique, les corvées genre vaisselle se faisaient automatiquement en faisant spontanément des tours de rôle, on donnait le coup de main à notre skipper-cuisto pour le rapatriement des denrées alimentaires vers la chaîne de froids ; pour la mise en voiles ou pour la descente nous étions les moussaillons, bref, c’était le rêve !
Il faut dire que scruter la mer à la surveillance d’un de baleine, ce n’est pas rien !
Nous arrivons au bout de nos trois jours de croisière, un peu tristounets de nous quitter si rapidement, mais sans oublier de nous donner un rendez-vous pour le soir au Pub à 19 h. (Il est environ 17.30 h).
Mon premier boulot en arrivant c’est de vite mettre mon linge à laver et d’aller me mettre sous la douche. Mes cheveux et mon corps apprécient la douceur de l’eau, seulement voilà, au moment de prendre ma serviette de bains, je m’aperçois que je l’ai oubliée sur le bateau ! et pas seulement la serviette, en faisant l’inventaire, je vois également en absence : les jumelles, la housse de mon appareil photos avec les 2 cartes SD à l’intérieur et la bible (mon dictionnaire). J’ai cogité tout le reste de la soirée à me demander comment j’allais me les faire retourner vu que demain matin je dois partir sur Cairns à 9 h, j’ai les boules !!!!!!
4.09.05 – Direction Cairns
Ce matin lever à 6 h – 10, le soucis ! Enfin, je mange la petite salade de fruits achetée hier, je range mon linge propre (lavé hier soir) je vais à la réception m’enquérir de mon moyen de locomotion et là, subito, je décide d’aller au bateau en me disant que je trouverais bien quelqu’un au bateau, il y a toujours quelqu’un au port.
J’arrive sur le quai où un brave marin m’offre son aide et me conduit directement au voilier "La Providence", c’est tout à fait Australien. Dès que le Skipper me voit, il va me chercher le petit paquet oublié, j’étais franchement soulagée, autant d’emmerdes évitées.
Je reviens à l’auberge où je vais boucler mes sacs et valise. C’est la réceptionniste elle-même qui me véhiculera jusqu’à la gare routière, un autre soucis en moins, je suis soulagée.
Je suis en avance, nous discutons et brin avant le départ et je lui raconte que la veille au soir, lorsque j’ai voulu réintégrer ma chambre, la réception était close et j’ai dû escalader le mur. Elle a bien ri car elle m’a dit qu’il y avait une autre entrée en cas de fermeture de la réception, mais de ça, je ne m’en étais pas informée. Je me suis bien abstenue de lui préciser également que j’avais un peu trop bu vin blanc et bière et que l’opération avait été beaucoup moins aisée qu’à jeun. et qu’une fois arrivée devant la porte de ma chambre je ne remettais plus les mains sur ma clé, j’étais mal barrée.
En fait, vu mon "trouble" je l’avais rangée avec mon téléphone portable, mais je croyais l’avoir fait tomber en escaladant et j’avais passé un quart d’heure au pied du mur avec ma lampe torche à la chercher. Je ne me sentais pas du tout de dormir assiste devant la porte du bungalow, je n’aurais pas mangué de me faire remarquer, et bien que je sois certaine de ne jamais être revue par qui que ce soit, j’avais quand même honte pour moi.
Enfin ! j’ai retrouvé la clé après avoir vidé mon petit sac à dos consciencieusement, et c’et soulagée d’un grand poids et partiellement dégrisée que j’ai pris une douche et fini le bouclage des bagages car au lever, c’est le départ pour Cairns.
Le lever fut dur, ma tête me faisait mal, elle bourdonnait comme la gare Saint-Charles aux heures de pointe je payais la rançon de la bière et du vin blanc, bien fait pour moi !
Je suis quand même debout aux aurores et ma "driver" me laisse à la station où je dois prendre le bus pour Cairns, j’aurai 10 heures de route, pauses comprises, ça me permettra de dormir pendant la première partie du chemin pour oublier le mal de tête, la route est quand même longue.
En cours de route, une petite famille est montée, le genre de celles qu’on rencontre sur les stades de foot et qui accompagnent leurs mouflets (désolée pour la comparaison, je généralise et ce n’est pas bien). Les gosses sont plutôt remuants mais pas vraiment infernaux, mais les parents sont un poil "sans gêne", bref ! je me les suis encapés presque tout le reste du trajet.
Je suis arrivée à 20 heures à l’auberge en espérant me restaurer, mais là, la cuisine fermait et je me suis contentée de fruits secs, de babybel et d’une banane que j’avais pris la précaution d’emmener, mais j’avoue que j’ai été un peu déçue car fermer des cuisines à 20 h dans une ville aussi touristique que Cairns, c’est surprenant. Malgré tout, il y a à disposition des voyageurs, une cuisine où l’on peut se préparer soi-même ses repas, mais encore faut-il le savoir quand on débarque et avoir prévu les denrées nécessaires.
5.09.05 – Kuranda
Je suis prête devant mon auberge "Le Serpent" elle est conviviale, j’ai une chambre seule (j’avais perdu l’habitude) elle est un peu excentrée, mais ce n’est pas un problème, en partant tôt le matin je peux marcher des kilomètres, mais à Cairns, il fait très chaud. Pour aujourd’hui, le programme est Kuranda, la rain-forest, et tout ce qui fait partie de ce parc.
Je n’ai pas attendu longtemps, je suis arrivée un quart d’heure avant pour être sûre de ne pas rater le bus, mais à moins le quart pile, le chauffeur est là. Nous montons dans un bus climatisé qui nous tranfère jusqu’à la station.
Là, nous montons dans le petit train qui nous promènbe à travers la forêt "rain-forest" nous grimpons à travers la montagne en longeant les superbes chutes d’eau de Barron George National Park et nous arrivons à la petite gare de Kuranda.
Notre bus nous récupère pour nous emmener vers le sanctuaire des papillons où il nous lâche, pour nous reprendre 1.45 H plus tard.
Notre badge nous permet d’avoir une réduction à l’entrée on ne paie que $14 au lieu de 36. Je ne suis pas déçue de la visite. Au milieu de cette serre tropicale, les papillons sont absolument splendides, des couleurs lumineuses, je vais courir derrière les papillons bleus pendant un petit moment pour arriver à les fixer sur la pellicule, mais c’est vraiment une merveille, je ne sais rien dire d’autre. Je n’ai pas vu le temps passer, aussi quand je suis sortie de là, il ne restait plus que 10 mn pour le point de rencontre, je n’ai donc pas eu le temps d’aller voir les oiseaux.
Notre bus nous a ensuite emmené vers la promenade en véhicule amphybie à travers la rain-forest. J’au pu voir un python d’eau, vite disparu quand il senti les vibration de l’approche du véhicule et je n’ai pas eu le temps de le prendre en photo ou de le filmer. Notre guide nous commentait les différentes espèces, tant d’oiseaux que de reptiles et des arbres de la rain-forest, mais hélas pour moi, je ne captais qu’une partie des explications, bien que je doive admettre que mon oreille se soit améliorée.
J’ai fait la visite en compagnie d’une canadienne de Vancouvert sur une partie du trajet avec laquelle j’ai bavardé longuement. Ensuite deux dames qui venaient de Melbourne et appréciaient la douceur du climat du Queensland, car Melbourne, c’est un peu Paris comparé à Marseille. Nous avons bien entendu bavardé à propos de tout et de rien mais aussi de l’Australie et des voyages, j’ai été interrogée sur mes motivations à partir seule pour un périple aussi, ça surprend toujours quand je dis que je voyage par mes propres moyens seule mais très motivée, pourtant de mon point de vue, je ne multiplie pas les risques mais uniquement les plaisirs dans la découverte.
Le bus nous a ensuite emmenées sur les lieux de notre repas, un immense buffet était prévu. Je me suis trouvée à table avec deux jeunes gens allemands et une hollandaise qui ne parlaient qu’Anglais comme langue étrangère, mais perfectly. Qu’à cela ne tienne, comme à mon habitude, j’ai conversé du mieux que j’ai pu, comme d’habitude, et surtout, j’ai tout compris ce qu’on me disait, ouf ! J’ai fini l’après-midi avec la Hollandaise.
Après le repas, nous avons assisté à l’attraction aborigène en commençant par les danses, que j’ai intégralement filmées (avec leur accord) ensuite, ce fut le lancé du boomerang et les démonstrations avec les sagaïes. Ces spectacles valent vraiment la peine d’être vus.
Les danses, que j’ai évidemment appréciées, bien que cela ne soit réservé qu’aux hommes,
Ensuite, nous avons pris le skyrail, je le comparerais aux "oeufs" en montagne, et là, nous avons surplombé l arain-forest.
Nous avons pu admirer le superbes chutes d’eau de Barron George par l’autre versant et je ne me suis pas privée de les prendre en film et photos.
Nous sommes redescendues à 17.15 H pour le retour, et franchement, ce fut la journée bien remplie et absolument géniale !
En arrivant dans le hall de sortie, j’ai eu la surprise d’y voir ma photo avec ma camarade Hollandaise. Je me suis de suite laissée tentée car la photo était bonne, et surtout "prise sur le vif" donc, au naturel.
De retour à l’auberge, je ne e suis pas laissée avoir par l’heure du dîner, j’étais au bar à 18.45 H, je ne me suis certes pas étouffée avec un peu de chili et du riz, mais pour le soir, j’ai fait avec. C’était la ration gratis car avec $4 on avait plus conséquent, mais, une fois n’est pas coutume.